jeudi 31 juillet 2014

Des virus génétiquement modifiés, pouvant mettre à mort des millions de personnes, sont financés par les États-Unis et par de nombreux pays et ce, depuis des décennies

* Voici un article documenté et brillant, de 2009, qui montre que nos dirigeants à la solde de l'industrie pharmaco-militaire ont créé des virus mortels qui ont tué des millions de personnes, depuis au moins le début des années 1900. 

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Il existe des preuves alarmantes qui ont été cumulées par des sources scientifiques sérieuses à l'effet que le gouvernement des États-Unis soit sur le point d'avoir ou aurait déjà une « arme » qui porte le nom de grippe aviaire. Si les reportages sont exacts, cela pourrait déclencher une nouvelle pandémie sur la planète. Une pandémie qui pourrait être plus dévastatrice que l'épidémie de grippe espagnole de 1918 et qui a tué environ 30 millions de personnes dans le monde avant de se résorber. Les expériences du Pentagone et de l'Institut national de la santé des États-Unis réalisées avec les restes congelés du virus de 1918 sont de la pure folie scientifique. Est-ce que les États-Unis sont sur le point de déclencher une nouvelle pandémie sélective raciale dans le cadre d'un processus obligatoire de vaccination avec un vaccin prétendument fabriqué « contre » la grippe aviaire?

Il y a des raisons de croire que ces divisions de l'industrie pharmaceutique internationale agissent de concert avec le gouvernement des États-Unis pour développer une substance du virus H5N1 génétiquement modifiés susceptible d'engendrer une pandémie créée par l'homme, et qui pourrait être plus mortelle que la pandémie de la « grippe espagnole » de 1918 à laquelle on attribue la perte de 30 millions de vies humaines. (1)

Rima E. Laibow, MD, chef de la Fondation des Solutions Naturelles, un groupe de surveillance citoyenne qui surveille l'industrie pharmaceutique [déclare que] : « Notre meilleure estimation réalisée par nos renseignements est que la pandémie de grippe aviaire a déjà été créée par le génie génétique aux États-Unis, en fusionnant le mortelle génome de la pandémie de 1918, la mal nommée « grippe espagnole, » avec l'ADN du virus inoffensif H5N1 dans une culture de croissance à base de cellules du rein de l'homme et ce, selon l'Institut Nationale de la Santé et le fabricant du vaccin. Certains virologues croient que cela permettra au virus mutant créé par l'homme de reconnaître les cellules humaines lui permettant ainsi de les envahir. » (2)

Si cela est vrai, tel que le souligne Laibow, « Un fait à la base de la virologie est que le public n'a pas été informé qu'il est impossible de créer un vaccin contre un virus qui n'existe pas encore. Les efforts de relations publiques [vont dans le sens] contraire, Si un vaccin contre la grippe aviaire est développé dans sa forme pandémique, cela signifie que le virus pandémique devait déjà exister, [avant cette] période, fin de la discussion. » (3)

Le génome [du virus] de la pandémie de 1918, dite « grippe espagnole, » a récemment été intentionnellement ressuscité par le gouvernement des États-Unis à partir d'un cadavre congelé d'une personne morte de la grippe en 1918 en Alaska. En raison de cette résurrection, la grippe aviaire et son « vaccin » représentent maintenant une menace importante à la santé publique.

La grippe espagnole, qui n'avait rien d'espagnol, a été créée aux États-Unis dans l'un des premiers programmes d'armes biologiques et elle fut injectée à des jeunes hommes en bonne santé (c'est-à-dire, des « soldats ») au cours de la première vaccination obligatoire dans l'armée pendant la Première Guerre mondiale. La « grippe espagnole, » née dans des bases militaires américaines du Kansas, est l'une des pandémies les plus mortelles de l'histoire moderne. Elle a également été l'une des armes biologiques les plus réussies et à n'avoir jamais été créées jusqu'à ce jour. L'Aspartame et la compagnie Tyson Foods Inc en doutent.

À ce jour, il y a seulement eu qu'environ 385 cas humains de grippe aviaire repérés dans le monde entier (en supposant que ces indications sont fiables, bien sûr), causant 243 décès. Afin de mettre en perspective l'absurdité de tout ces efforts, Laibow souligne que la mort subite découlant de problèmes cardiaques, que les chercheurs croient fortement associée à la consommation d'aspartame, est l'une des principales causes de mort qui par exemple, selon le Centre de contrôle des maladies, aurait tué 460,000 Américains en 1999 et les chiffres continuent d'augmenter (CDC).

Mais, l'aspartame ne fait pas l'objet de critiques. Il est intéressant de voir une note de bas de page au sujet de l'Aspartame que la compagnie pharmaceutique de Chicago qui détient le brevet de l'aspartame, GD Searle & Co., était en danger de perdre sa licence de la Food and Drug Administration du gouvernement des États-Unis dans les années 1980 jusqu'à ce que Donald Rumsfeld, qui n'était alors pas membre du gouvernement, soit nommé Président de la Searle. Rumsfeld a utilisé ses contacts à Washington pour obtenir de la Food and Drug Administration l'approbation [nécessaire pour la mise en marché de] l'aspartame et ce, malgré des tests connus démontrant de graves effets sur la santé des rats.

Tel que je l'ai grandement documenté dans mon livre, « Les semences de la destruction: L'ordre du jour cachée de la manipulation génétique, » le même Don Rumsfeld est devenu président et principal actionnaire d'une compagnie pharmaceutique californienne, Gilead Sciences Inc, qui a développé et breveté le Tamiflu en 1996, d'abord pour servir de médicament contre le SIDA et plus tard, comme vaccin contre la grippe aviaire H5N1. En 1997 Donald H. Rumsfeld a été nommé président du conseil d'administration de la Gilead Sciences, où il est demeuré jusqu'au début de 2001, date à laquelle il est devenu Secrétaire à la défense. Occupant alors les fonctions de Secrétaire à la défense, il a refusé de vendre ses actions lorsque sont survenues des allégations de conflit d'intérêt parce qu'il avait ordonné l'achat d'une valeur de 1 milliard de dollars de Tamiflu destiné à être injecté au personnel militaire américain en guise de « précaution.» Par la suite, il a été prouvé que le Tamiflu ne pouvait en aucun cas servir d'antidote contre le virus H5N1 et que ses effets secondaires sont parfois très graves.

Laibow ajoute: « Compte tenu de la scandaleuse absence de preuve d'une quelconque menace d'un virus H5N1 qui ne soit pas de fabrication humaine, comment pouvons-nous expliquer que l'administration Bush dépense des milliards de dollars pour préparer chacun des 50 États à ce qu'ils appellent « l'inévitable pandémie de grippe aviaire, » que l'on prétend qu'elle pourrait tuer la moitié ou plus de tous les Américains et une proportion équivalente de personnes à travers le monde? » (4)

Encore plus inquiétant, le 3 juin, Associated Press a rapporté que « Tyson Foods Inc a commencé à tuer et à enterrer les carcasses de 15,000 poules d'un troupeau qui ont été testés positifs à l'exposition d'une souche de la grippe aviaire dans le nord-ouest de l'Arkansas, selon ce qu'à déclaré mardi un responsable de l'État. »

Tyson Foods est le plus grand producteur industriel de poulets dans le monde et ils ont maintes fois été critiqués pour les mauvaises conditions d'élevage et d'abattage. En janvier 2005, le Vérificateur général des États-Unis (appelé en France la Cour des comptes) a présenté un rapport au Sénat des États-Unis intitulé « La sécurité dans le secteur de la viande et de l'industrie de la volaille, » dans lequel il conclut que la viande et les usines de transformation de produits de la volaille ont « l'un des taux les plus élevés de blessures et de maladies de toute l'industrie. » Il a cité l'exposition à des « produits chimiques dangereux, au sang, aux matières fécales, des problèmes qui sont aggravés par une mauvaise ventilation et souvent par des températures extrêmes. Les travailleurs sont généralement confrontés à des conditions dangereuses, à un environnement très bruyant et ils doivent travailler dans des espaces restreints avec de la machinerie et des outils dangereux. »

L'industrialisation de l'élevage du poulet et de l'abattage aux États-Unis a progressé au point qu'en 2003, date où les premiers cas du virus de grippe aviaire H5N1 ont été signalés en Asie, cinq compagnies multinationales géantes de l'agro-industrie dominaient les secteurs de la production et de la transformation de viande de poulet aux États-Unis. Les cinq entreprises étaient Tyson Foods, la plus imposante au monde; Gold Kist Inc; Pilgrim's Pride; ConAgra Poultry; et Perdue Farms. (5) La plupart des cas où est apparue la grippe aviaire en Asie ont été attribués à de telles usines de poulets de grande envergure. (6)

En mai de cette année, Canadian Press de Toronto a rapporté que : « Une expérience visant à combiner le virus de la grippe aviaire H5N1 à une souche de grippe humaine dans un laboratoire a produit un nombre étonnant de virus hybrides qui sont biologiquement en bonne santé, selon ce que révèle une nouvelle étude. Et même si aucun des virus sortis de cette progéniture n'était aussi virulent que le virus H5N1, environ un sur cinq étaient mortels à faible dose pour les souris, démontrant ainsi qu'ils ont conservé au moins une partie de la puissance de leurs dangereux parents. » (7)

L'article de Toronto se poursuit comme suit. « Ce travail permet de croire que dans des conditions parfaites - et personne n'est clair quant à savoir qu'elles sont toutes ces conditions - les deux types de virus de la grippe pourraient s'échanger des gènes de manière à permettre au virus H5N1 d'acquérir la capacité de déclencher une pandémie. Ce processus est appelé réassortiment. Cette étude permet simplement de démontrer exactement ceci: Il y a un risque que ce virus puisse se réassortir avec succès avec un virus humain, » a déclaré Richard Webby, directeur du Centre de recherche sur la grippe à l'hôpital St-Jude de Memphis au Tennessee qui collabore avec l'Organisation mondiale de la santé. » (8)

Le professeur de biologie moléculaire de Harvard, Mathew Meselson, un scientifique très respecté dans le domaine de la guerre chimique et biologique, confirme que le gouvernement des États-Unis a longuement étudié et mis au point par le passé des armes biologiques. Meselson décrit une installation étasunienne au nord de la ville de Terre Haute en Indiana, construit en 1944 et qui produisait 4 bombes à l'anthrax de 500,000 livres par mois lorsqu'elle fut au plus grand de ses activités.

Meselson faisait parti d'une équipe qui a prouvé la fuite accidentelle d'anthrax dans une installation soviétique en 1979, réfutant ainsi les accusations de guerre biologique au Laos et au Cambodge à la fin des années 1970, et il a été une force motrice derrière la vulgarisation de la Convention sur les armes chimiques de 1994.

Depuis son arrivée au pouvoir, l'administration Bush-Cheney a beaucoup fait pour affaiblir cette Convention sur les armes chimiques ainsi que celles sur les armes biologiques. L'une des premières lois de George W. Bush à titre de président en début d'année 2001 consistait à s'opposer à un projet de Protocole international sur les armes biologiques et toxiques, sans explication, ce qui a entraîné la fin des pourparlers.

Dans une étude réalisée en 2004, l'Association médicale britannique a lancé un avertissement à l'effet que le monde n'est peut-être qu'à seulement quelques années d' « armes biologiques terrifiantes capables de tuer seulement les personnes de certains groupes ethniques, » en citant les progrès réalisés dans la technologie des armes génétiques. (9)

Le Département de la sécurité intérieur des États-Unis (le Homeland Security) a fait une annonce des plus inquiétante en plaçant une commande de production et de stockage d'un vaccin contre une grippe pandémique: « Le gouvernement américain prend des mesures pour réduire la nécessité de prendre des décisions dans la distribution des vaccins en soutenant les efforts visant à accroître les capacité de production de vaccins contre la grippe. D'importants fonds de financement sont octroyés pour développer de nouvelles technologies de vaccin qui puissent permettre la production d'un nombre suffisant de vaccins contre une grippe pandémique pour toute personne des États-Unis qui souhaite se faire vacciner dans les six premiers mois suivants la déclaration d'une pandémie. » (10) Un rôle curieux [conféré à] l'entreprise Sanofi Pasteur.

Depuis 2004, le gouvernement des États-Unis finance le développement d'un vaccin contre le virus H5N1 de la manière la plus rapide qui soit. L'entreprise Sanofi Pasteur située dans la ville de Swiftwater en Pennsylvanie, une filiale de la géante firme pharmaceutique française, la troisième plus grande au monde, a fabriqué un vaccin inactif provenant d'un virus H5N1 isolé en 2004 en Asie du Sud-est. Sanofi Pasteur, une division de l'entreprise française Sanofi-Aventis, a obtenu le 11 mai 2004 un contrat de l'Institut national des maladies allergiques et infectieuses du gouvernement des États-Unis, qui fait partie de l'Institut nationale de la santé, pour fabriquer le vaccin anti-H5N1. (11)

En avril 2007, la Food and Drug Administration (FDA) a approuvé le vaccin développé par Sanofi Pasteur pour le virus H5N1 même si un an auparavant, la FDA avait déclaré que Sanofi Pasteur produisait des vaccins Fluzone contaminés. (12) Le vaccin anti-H5N1 approuvé par la FDA n'est apparemment pas vraiment efficace dans le cas de l'éclosion d'une grippe aviaire transmissible d'homme à homme. Lorsqu'elle fit l'annonce de son approbation, la FDA a déclaré, « deux injections faites en 28 jours peut fournir une protection « limitée » si une pandémie se produit. Environ 45% des personnes qui ont reçu le vaccin lors d'une étude ont développé une réponse immunitaire au virus. » (13)

Jusqu'à présent, le virus H5N1 n'a pas muté en une forme qui puisse facilement se transmettre d'une personne à l'autre. Ne serait-ce pas plutôt dans cette voie que les chercheurs de Sanofi Pasteur et différents autres laboratoires sous contrat avec le gouvernement des États-Unis se sont engagés? Si tel était le cas, ce serait classé formellement TOP SECRET. Le respecté magazine britannique, New Scientist, a commenté: « Si le virus H5N1 devait muter, il est difficile de savoir si les vaccins développés aujourd'hui seront efficaces contre une souche pandémique. Les fabricants pourraient adapter un nouveau vaccin à cette souche, mais les méthodes de production actuelles nécessiteraient des mois. » (14)

Le magazine a signalé que la recherche sur le vaccin de l'entreprise Sanofi a été réalisée par l'Institut nationale de la santé dans le cadre des efforts du gouvernement des États-Unis visant à se préparer à une pandémie de grippe. Les principales questions consistent à savoir s'ils se préparent à « une pandémie de grippe »ou s'ils préparent une pandémie de grippe. Pourquoi le gouvernement des États-Unis dépense-t-il des centaines de millions de dollars des contribuables pour stocker ce vaccin anti-H5N1 qui probablement ne fonctionnera pas lors d'une telle pandémie?

Le 2 juillet 2008, le quotidien London Daily Telegraph a rapporté que « Trois médecins polonais et six infirmières font face à des poursuites criminelles parce qu'un certain nombre de sans-abri sont décédés à la suite d'essais d'un vaccin contre le virus H5N1 de la grippe aviaire. » (15)

Le reportage ajoute que le personnel médical de la ville septentrionale de Grudziadz, a fait l'objet d'une enquête sur les essais réalisés l'an dernier sur 350 personnes sans-abri ou sur personnes pauvres qui a fait dire aux procureurs qui participent à l'enquête que les essais ont été réalisés avec un vaccin de ce virus hautement contagieux qui n'avait [auparavant] jamais été testé. Les autorités affirment que les prétendues victimes ont reçu 3 euros pour tester ce qu'ils croyaient être un vaccin contre la grippe classique, mais selon les enquêteurs, il s'agissait en fait d'un médicament contre la grippe aviaire. Le directeur d'un centre de sans-abri de Grudziadz, Mieczyslaw Waclawski, a déclaré à un journal polonais que l'an dernier, 21 personnes de son centre sont mortes, un chiffre bien au-dessus de la moyenne d'environ huit personnes.

Le rapport polonais ne précise pas s'il s'agissait du vaccin en cours de développement dans le cadre du contrat donné à l'entreprise Sanofi-Pasteur par le Homeland Security du gouvernement des États-Unis. Toutefois, il est connu que Sanofi-Pasteur produit de grandes quantités d'un tel vaccin dans une usine qu'ils possèdent en Chine.

Le Docteur Laibow déclare que le « vaccin contre une pandémie de grippe aviaire » devait être livré aux États-Unis ce mois-ci par le fabricant français de vaccins, Sanofi Pasteur, à partir d'une installation qu'ils possèdent en Chine là où le vaccin est produit. Le gouvernement des États-Unis a publié en juillet son plan de distribution du « vaccin. » Laibow craint un scénario plus sinistre de propagation volontaire d'agents pathogènes de grippe aviaire parmi la population qui pourraient obliger le déploiement de mesures telles que la loi martiale et la vaccination forcée ayant pour résultat des morts par millions et qui pourraient être imminentes. Le virus de la grippe espagnole réactivée par le Pentagone.

En 2003, des scientifiques de l'armée des États-Unis ont créé le virus de la « grippe espagnole » en laboratoire. Selon une déclaration publiée à l'époque par un organisme de surveillance, qui porte le nom de Projet Sunshine, et qui surveille les recherches réalisées sur les armes biologiques et chimiques au sein du gouvernement des États-Unis a publié une déclaration à l'effet que « Le virus de la grippe espagnole qui a tué entre 20 à 40 millions de personnes en 1918 est actuellement en reconstruction. Plusieurs gènes du virus extrêmement meurtrier de la grippe de 1918 ont été isolés et introduits dans des souches de grippes contemporaines. Ils se sont avérés mortels pour les souris, alors que le virus développé à partir de gènes d'un type de virus de la grippe actuelle n'avait aucun effet. Ces expériences peuvent facilement être détournées à des fins militaires, alors qu'elles fournissent peu d'avantages d'un point de vue médical ou de santé publique. »

Ils poursuivent en disant que « La grippe espagnole de 1918 était hautement infectieuse et – en comparaison aux virus de la grippe contemporains – elle a tué un pourcentage très élevé des personnes infectées, dont de nombreux jeunes. La grippe espagnole à elle seule a réduit de 10 ans l'espérance de vie aux États-Unis en 1918. Par conséquent, les virus grippaux sont perçus aujourd'hui comme une grave menace de guerre biologique. Il y a seulement deux semaines, 15 millions de dollars en subventions de recherche ont été octroyés aux États-Unis afin de développer des mesures de protection principalement contre une attaque bioterroriste avec des virus de la grippe. »

La déclaration ajoutait que: « Malgré la nature dangereuse du virus de 1918, les efforts visant à le reconstruire ont commencé au milieu des années 1990, lorsque le Dr Jeffrey Taubenberger de l'Institut de pathologie de l'armée des États-Unis à Washington a réussi à récupérer et à séquencer les fragments d'ARN viral à partir de tissus préservés de victimes de 1918. Dans le prochain numéro de la revue scientifique Emerging Infectious Diseases de nouvelles informations génétiques à l'égard du virus de la grippe de 1918 seront publiées. »
Plus inquiétant encore, ils rapportent que : « Après avoir (partiellement) déchiffré la séquence génétique du virus, les scientifiques sont allés plus loin et ils ont commencé à ramener la grippe espagnole en vie. Sans que le public n'en soit informé, ils ont réussi à créer un virus vivant contenant deux gènes [du virus] de 1918 et qui se sont avérés être très meurtriers lors d'expérimentations animales. Ces expériences sont seulement une étape génétique visant à sortir entièrement de sa bouteille le démon de 1918. » (16)

Ils concluent: « La résurrection de la grippe espagnole n'est ni nécessaire ni justifiée au point de vue de la santé publique. Il semblerait que les récentes expériences ont permis d'évaluer l'efficacité des antiviraux actuels sur le virus reconstitué de 1918. Mais il n'aurait guère été nécessaire d'avoir des antiviraux contre la souche de 1918 si en premier lieu, la souche [de la grippe] de 1918 n'avait pas été recréée. « Ça n'a tout simplement pas de sens scientifique de créer une nouvelle menace uniquement dans le but de développer des antidotes contre cette menace. » Tel que l'explique Jan van Aken, biologiste au Sunshine Project : « La caractérisation génétique des souches de la grippe a d'importantes applications biomédicales. Mais il n'est pas justifié de recréer cette souche éradiquée particulièrement dangereuse qui pourrait causer des ravages si elle était relâchée [dans l'environnement], délibérément ou accidentellement. » (17)

Permettez-nous d'espérer sincèrement que rien de tel ne se produira, mais comme le fait remarquer dans un autre contexte le professeur Stephen Block, biophysicien à l'Université Stanford possédant plusieurs années d'expérience dans des recherches biologiques confidentielles réalisées pour le Pentagone et le gouvernement des États-Unis : « Nous sommes tentés de dire que toute personne saine d'esprit n'utiliserait jamais ces choses. » Et le professeur Block ajoute: « Mais ce n'est pas tout le monde qui est sain d'esprit… » (18) Sanofi Pasteur produit le vaccin anti-H5N1.

Le 28 avril de cette année, dans un communiqué de presse officiel publié par les sièges sociaux de Sanofi Pasteur à Swiftwater en Pennsylvanie et à Lyon en France, la société a déclaré: «Sanofi Pasteur, la division vaccins du Groupe Sanofi-Aventis, annonce aujourd'hui que le Département américain de la Santé (U.S. Department of Health and Human Services) a réceptionné un nouveau lot de vaccin H5N1 sous forme de concentré en vrac, correspondant à une quantité équivalente à 38,5 millions de doses de vaccin élaborées à partir d'une nouvelle souche de grippe aviaire. Cette livraison, qui s'inscrit dans le cadre d'un contrat pluriannuel signé avec le Département américain de la Santé au titre de son programme de préparation à la pandémie, s'élève à 192,5 millions de dollars et sera comptabilisée au deuxième trimestre 2008. » (19)

Puis, le 16 juin de cette année, Sanofi Pasteur a publié un communiqué annonçant qu'elle va « donner 60 millions de doses de vaccin H5N1 à l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) sur trois ans pour la constitution d'un stock de réserve international. »

Le président directeur général de Sanofi Pasteur, Wayne Pisano, a déclaré dans le communiqué que « le virus H5N1 circule actuellement dans certaines régions parmi les plus pauvres du monde et l'irruption d'une grippe pandémique pourrait frapper des populations ayant un accès limité aux vaccins. Cette donation de vaccin H5N1 a pour but de répondre aux besoins des populations les plus vulnérables. En plus de soutenir les efforts des gouvernements, il est essentiel que l'industrie collabore avec les organisations internationales telles que l'OMS, la Fondation Bill et Melinda Gates et d'autres organismes de santé mondiale. Ainsi, il sera possible de constituer un stock de réserve de vaccins pour les pays en voie de développement, prêt à être déployé sur le terrain dans le cas où une pandémie de grippe viendrait à être déclarée. » (20)

La Fondation Bill et Melinda Gates, en plus d'être un soutien financier pour la soi-disant Arche de Noé végétale en Arctique, a consacré des milliards de sa Fondation pour soutenir le contrôle de la croissance démographique principalement en Afrique. Parmi les autres projets - et pareillement à la Fondation Rockefeller - ils sont en train de financer l'Alliance pour une Révolution Verte en Afrique, avec pour responsable l'ancien secrétaire général de l'ONU, M. Kofi Annan. (21)

Le principal fabricant mondial du vaccin contre la grippe, Sanofi Pasteur, produit environ la moitié des vaccins contre la grippe distribués dans le monde. Aux États-Unis, ils ont produit plus de 40 % des vaccins contre la grippe distribués pour la saison grippale de 2007-2008. Le fait que le gouvernement des États-Unis ait fait revivre le virus de la grippe espagnole de 1918 afin de réaliser des « tests » indique que tout est possible. Il y a dans ce monde certaines personnes qui ne sont pas « saines d'esprit. » Que Dieu nous garde qu'il n'en soit pas ainsi dans ce cas.

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